Bienvenue à Saint Julien les Rosiers

Saint Julien les Rosiers est une commune de 3500 habitants située à 5 kms au nord-est d’Alès sur la voie départementale RD 904 qui relie le haut Gard à l’Ardèche.

Notre territoire peut se comparer à un triangle évasé au sud et beaucoup plus pointu au nord. Il est bordé à l’Ouest et à l’Est par les premiers contreforts des Cévennes.
Le ruisseau rouge à l’Ouest et le ruisseau blanc dit « Gravelongue » à l’est (qui prend sa source au Carabiol) innervent la plaine. La rencontre des deux en aval, forme le Grabieux.

Saint Julien les Rosiers s’étend sur une superficie de 1400 hectares répartis de la façon suivante : les deux tiers du territoire sont boisés (chênes verts, châtaigniers, pins) auxquels viennent s’ajouter quelques hectares de landes et de bancels en friche qui abritent une faune se composant de sangliers, lièvres, lapins, perdrix ; le tiers restant se situe dans la plaine et se partage entre exploitations agricole, pâturages et urbanisation pavillonnaire.

La commune se situe entre 155 et 545 mètres d’altitude.

Quelques vestiges miniers (pyrite et charbon) dans le massif forestier sont les témoins majeurs d’une époque industrielle révolue.

Un peu d'histoire...

Le nom de la commune a été modifié à plusieurs reprises au cours de son histoire. Au Moyen-Age, c’était Saint Julien de Valgalgues, puis Saint Julien les Mines durant la révolution, à nouveau Saint Julien de Valgalgues jusqu’en 1955, date à laquelle le village prend son nom actuel de Saint Julien les Rosiers en raison du développement de l’urbanisation de part et d’autre du CD 904.

Au 19ème siècle, la présence d’une marne (argile) de bonne qualité favorise le développement des tuileries. On en a compté jusqu’à cinq dans la commune sur les 31 que comptait le département du Gard.

Il faut également ajouter l’existence d’alambics sur la route nationale.

Au début du 20ème siècle, les Julirosiens étaient éleveurs, viticulteurs et ouvriers. La part des activités agricoles a connu une baisse constante et spectaculaire depuis quelques décennies : 63 exploitations en 1973, 3 en 2009.

Le patrimoine local est riche de l’abbaye de Notre Dame des Fonts, crée au 12ème siècle par les sœurs cisterciennes et devenue maintenant un domaine privé. Citons également l’église de Saint Julien les Rosiers datant du 12ème siècle et le dolmen dit « Peiro Blanco » situé dans la montagne au dessus du village qui a fait l’objet de nombreuses études et recherches.

Données démographiques

La population de la commune connaît une croissance dynamique puisqu’elle est passée de 1000 habitants en 1946 à plus de 3500 aujourd’hui.

On dénombre environ 1500 pavillons avec la construction d’une cinquantaine de maisons nouvelles par année.

Economie

En matière économique, le tissu artisanal est très implanté sur la commune avec près de 80 entreprises recensées. Le tertiaire représente 69 % des emplois.

Signalons l’existence de la zone artisanale des Agonèdes, d’intérêt communautaire créée en 2004 : 17 lots (tous pourvus) pour une cinquantaine d’emplois. A l’intérieur de cette zone, l’atelier relais remplit sa fonction qui est d’héberger des entreprises nouvellement crées à la recherche d’un local.

Voirie

La commune compte 19 kms de voirie communale, 27 kms de chemins ruraux et 12 kms de route départementale.

1100 abonnés sont en assainissement collectif et 230 en assainissement individuel.